Le chant du cygne...
Pas de mariage annoncé.
Pas de naissance en vue.
Pas de déménagement programmé.
Pas de projets d'aménagement méritant la une d'un quotidien (non plus d'un hebdo)(ranger le lave-vaisselle, ça compte ?).
Pas de voyage envisagé.
Pas de rencontres bloguesques (ou autres) susceptibles d'intéresser un lectorat exigeant, prévues.
Pas d'ouvrages pénélopiens achevés (mais, ceci dit, n'est-ce pas le propre de ce genre de travail ?). En contrepartie, pléthore d'en cours.
Pas d'annonce croustillante à vous mettre sous la dent. Que du banal.
Pas de révélation à même de fidéliser un public toujours plus exigeant.
Rien, rien, rien de rien vous dis-je.
Dans ces conditions, pas évident de poster, donc je ne poste plus pas.
Quoique, en cherchant bien, en grattant un peu. Hier, la maréchaussée m'a choisie. On ne perd pas à tous les coups. Passe, passe pas : je fus l'hirondelle, celle qui n'avait rien fait et à qui on a flanqué des coups de bâton (pas de paronïa aigüe : nous étions quelques uns sur le bas-côté). Un petit contrôle de routine. Qui fut vite exécuté. Bien, je ne sais pas mais exécuté.
Je ferais un mauvais malfrat. Même en n'ayant rien à me reprocher (ou si peu que ça ne vaut pas la peine de s'étendre sur le sujet), j'ai toujours, face aux représentants de l'ordre (?), un désagréable sentiment de culpabilité. Aurais-je une tronche de bavure ???