Pas de regrets :-D ...
Une fois n'est pas coutume et cela tient du miracle, je crois avoir répondu à tous vos commentaires (si ce n'était point le cas, merci d'adresser une lettre de réclamations à qui de travers).
Soyons honnête : j'y étais un peu obligée. Je vous soumets un exercice (de style ?), vous me renvoyez gentiment la balle.
Je la remets en jeu... ad vitam, peut-être pas eternam mais je vais essayer de tenir la promesse que je me suis faite (les plus difficiles à respecter) à savoir : Z E N I T U D E...
Je continue mon blog puisque c'était bien le thème du jour. Mais sans m'inquiéter de l'intérêt qu'il peut susciter (l'orgueil est un vilain défaut), juste pour le partage, l'échange, non pas de bons procédés mais de belles idées, les rencontres qu'il a permises et permettra encore, les discussions (j'ai bien dit D I S C U S S I O N S et pas caresses dans le sens du poil - de toute façon, ça ne marcherait pas, je suis d'un naturel peu velu ).
Mes réponses à vos commentaires ont entraîné de nouveaux mails que j'ai vraiment appréciés et qui m'ont touchée.
C'est ainsi que, pour me prouver que l'audimat n'est pas le plus important et que certains acharnés, à la recherche du Saint Graal, friseraient même le ridicule, une blogueuse qui tient à rester discrète (attention, pas anonyme !) m'a entretenue d'un blog dont la propriétaire est plutôt ... regardante quant à la fidélité et la motivation de ses troupes. Allant même jusqu'à menacer son lectorat d'une punition divine si, d'aventure (une folie), il lui venait l'envie de ne point marcher droit. Et le plus triste est que ça fonctionne !
Le général est exigeant, très exigeant. Mon anti-militariste primaire me pousse à en ricaner. Bêtement, je l'avoue mais on ne se refait pas.
Je ricane et je ris jaune car le plus ahurissant est l'absence de réactions des troufions. Pas un murmure, pas une protestation. Le petit doigt sur la couture du pantalon et une avalanche (je n'ose mentionner le nombre de flocons que ce caprice a déclenchés) d'excuses, de regrets, de promesses, de mots doux et de critiques non déguisées à l'égard des dissident(e)s... Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai. La cour de récréation n'est pas loin.
Je suis admirative (il me faut l'avouer, un brin jalouse ), certains possèdent le don indiscutable de se faire apprécier. Mais peut-être n'est-il pas trop tard pour apprendre ? Et à défaut d'être bien-aimée...
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Et puis, rien à voir, la première de couverture du "Nouvel Observateur"...
Mais ne vous y trompez pas, bientôt une médecine à deux vitesses : Gevrey-Chambertin ou piquette de chez la Maire d'Houilles.
Life is good