Des nouvelles du front ...
C'est de notoriété publique ...
Moins on sort, moins on a envie de sortir ...
Moins on mange, plus l'appétit est capricieux ...
Moins on blogue ...
Où est-il le temps où je me précipitais à chaque moment sur Monsieur Dell ?
En ce temps là, je n'avais pas assez de doigts pour rédiger mes billets, pas assez d'heures dans la journée pour peaufiner un texte, l'agrémenter de photos que je choisissais avec passion ...
En ce temps là, j'aurais aimé poster plusieurs fois par jour ...
En ce temps là, j'avais l'impression d'être prise dans un joyeux tourbillon, il me semblait faire partie d'une famille qui bien que virtuelle n'en était pas moins tellement présente ...
Puis j'ai raté le train (rectificatif : je suis montée dans la voiture qui est restée à quai). Je vous ai vus continuer votre chemin pendant que je m'enfonçais dans une bienheureuse somnolence. Aucune envie de courir ...
Les jours passent, le train est loin. J'ai quitté la gare (à quoi bon rester dans un wagon immobile).
D'aucuns appellent cela une pause ...
L'ennui avec les parenthèses est qu'il est plus aisé de les ouvrir que de les fermer.
L'envie de vous rejoindre me taraude mais je crois que je devrai me faire un peu violence car le baguenaudage me plaît assez ... Un peu cossarde peut-être ?
Un petit coup de pied bien placé saura me remettre sur le droit chemin.
Modeste tentative, l'essai sera-t-il transformé ? ...
... un tout petit fer "de poupée" en fonte, retrouvé (?) dans un carton au fond de la cave : aucun souvenir de sa provenance.
Philomène est ravie ...
Le plaisir de chiner chez soi lorsque l'on a une mémoire de poisson rouge : "le joli petit fer, la belle poupée, et le camion rouge, j'adore ce camion rouge, le joli petit fer, la belle poupée, et le camion rouge, j'adore ..."
La famille ARI s'est agrandie. Chez les poupées comme chez les humains, certains sont joyeux d'autres font la g****e beaucoup moins ...
Et je lis, je lis, je lis, je lis ...
J'ai aimé ...
"Automne 1945, alors que les Alliés se sont entendus pour occuper Berlin et le reste de l'Allemagne, une compagnie de militaires français emmenée par le capitaine Louyre investit le sud du pays. En approchant de le ville où ils doivent prendre leurs quartiers, une ferme isolée attire leur attention..."
Que vous dire pour conclure sinon que j'apprécie vos passages, commentés ou non (mais surtout commentés :o)). J'aime vous recevoir chez moi. Votre présence fait vivre ce blog. Merci de votre fidélité (j'ai des noms) ...
et demain ?? Monday, monday ...